sources (camps la source)

Exposition AQUARELLES, peindre l'art médiéval

Tournus 71700

Du /00/1e16 au //099

Françoise Carpentier ne se présente pas comme une artiste mais comme un artisan d'art :ses œuvres sont des reproductions sur papier d'éléments architecturaux et médiévaux qui l'ont saisie d'admiration par leur beauté sacrée et symbolique. C'est en pèlerine, sur les chemins de Bourgogne, de St Jacques de Compostelle et d'ailleurs... qu'elle trouve ses sources d'inspiration, particulièrement dans l'art roman. Elle pratique la technique de l'aquarelle qui l'a séduite par sa facilité de mise en œuvre, ses multiples facettes techniques, ses couleurs transparentes et lumineuses et par le jeu du pinceau avec l'eau, le papier et les pigments. Elle réalise certains fonds à l'encre, nuancée d'effet. Elle peint depuis une douzaine d'années en se perfectionnant par des stages, enseigne à son atelier ou à domicile et expose régulièrement en Bourgogne. Cette exposition présente des tableaux mais aussi des cartes, toujours originales, suite à ses dernières découvertes de notre magnifique patrimoine, dans le cadre non moins magnifique de la Tour des Champs de l'abbaye de Tournus qui se prête à merveille à ses peintures.

Chantier participatif "C'est Côa cette barrière ? "

Nature - Environnement

Auxi-le-Château 62390

Du 00/00/-100 au 99/99/-199

Le CPIE Val d'Authie vous convit à participer au sauvetage des amphibiens. Chaque année, grenouilles, crapauds, tritons et salamandres réalisent une migration annuelle de leur zone d’hibernation (le plus souvent une zone boisée) vers leur zone de reproduction (étangs, mare, fossés, etc.). Au cours de cette migration, ils sont de plus en plus obligés de traverser des axes routiers qui s’avèrent être des obstacles souvent mortels. Pour conserver ces espèces, chaque année à la même période le CPIE Val d'Authie avec l'aide de bénévole pose une barrière piège pour les amphibiens. Le principe de la barrière consiste à placer un obstacle (bâche plastique) le long de la route qui coupe le couloir de migration des amphibiens. En essayant de contourner cet obstacle, les amphibiens tombent dans des seaux disposés le long de la bâche. Tous les matins, jusqu’à la mi-avril, les amphibiens sont récupérés dans les seaux et transportés de l’autre côté de la route pour poursuivre leur migration. La barrière piège constitue également une source d’informations intéressantes concernant les espèces présentes sur le secteur, la proportion de mâle et de femelle, ainsi que leurs habitudes migratoires. N'oubliez[...]